Chaque semaine, le CGBB met à l’honneur l’un de ses membres. Cette semaine nous avons le plaisir de vous présenter… Laurine Rey
Peux-tu stp te présenter ?
Je me prénomme Laurine, j’ai 44 ans et je suis parisienne.
Cadre dans le Retail luxe, mode et joaillerie depuis 20 ans pour de grands groupes, j’ai par la suite géré les boutiques Roberto Cavalli.
Dans ma vie privée, mon luxe, le vrai à mon sens, est de me ressourcer en voyageant. J’adore observer la beauté de la nature, les couleurs et les lumières. Il n’y pas plus belle œuvre.
Les sports de glisse et de vitesse sont aussi un très grand plaisir, les sensations sont inégalables.
J’ai essayé de profiter des confinements pour me poser, me recentrer car prendre du temps est une opportunité que j’ai eue, moi qui me plaignais toujours de manquer de temps, on m’en a offert, comme si l’univers m’avait entendu…
J’ai toujours admiré les entrepreneurs, les personnes capables de créer, de bouger les codes. Les réseaux sociaux m’ont fait découvrir des personnalités extraordinaires, ils m’ont beaucoup inspiré et j’ai depuis peu créé ma société de recrutement. Comme ces entrepreneurs que j’admire j’ai décidé de me lancer à mon tour dans le tourbillon de cette aventure comme nulle autre.
Peux-tu nous dire ce qui t’a donné envie de rejoindre le CGBB ?
Alexandre Favre, sur LinkedIn, faisait partie des personnes inspirantes que je suivais, son énergie était palpable à travers les réseaux sociaux, un homme dans l’action, un esprit vif, des idées créatives, il arrivait à m’apporter du positif à travers mon écran, fantastique.
Le nom aussi du club ! Nous sommes dans une période où le mot bienveillance apaise et rassure.
Peux-tu STP nous parler d’une des dernières choses que tu as faites pour autrui ?
Je suis en train de lancer mon agence de recrutement qui a pour but de mettre en avant la différence et l’inclusion, une agence où l’humain sera mis en avant et pas seulement que via un slogan, ce qui est trop souvent le cas.
Les petites entreprises, comme les grands groupes, avancent à petits pas vers plus de diversité, mais nous sommes en retard.
Malgré les beaux discours, la discrimination est présente, même si parfois elle est inconsciente.
A ma petite échelle, je veux faire changer cela.
On ne devrait plus avoir peur de ne pas être recruté parce que l’on a plus de 45 ans, que notre nom n’est pas français, que l’on est homosexuel, que l’on n’ait pas fait d’études ou que l’on ait un handicap ou même que l’on soit une femme. Nous sommes au XXIème siècle, n’est-il pas ?
Si tu devais parler du CGBB avec l’un de tes proches, qu’en dirais tu ?
Les rencontres, le partage, la bienveillance, la créativité d’Alexandre sont très fédérateurs et l’union fait la force.
Tout cela dans une légèreté qui fait du bien, la simplicité et l’intelligence des membres, des personnes dont les parcours sont différents et qui pourtant s’inspirent tous les uns les autres.
Qu’aimerais-tu que nos lecteurs retiennent de toi ?
J’aimerais qu’ils me lisent et qu’il se disent, elle a raison, la différence est une force et s’ils sont chefs d’entreprise ou recruteurs, et bien qu’ils me contactent et faisons connaissance.
Un signe distinctif ?
Un jour l’une de mes boss m’a dit : vous êtes trop mère Thérèsa vous.
J’aime les reproches constructifs et j’adorais mère Thérèsa, quel compliment !
Nous rejoindre
Venez, tel que vous êtes, rejoindre le CGBB
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Plus d’informations : 06 16 61 21 38
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