CGBB / Le Membre de la semaine
Chaque semaine, le CGBB met à l’honneur l’un de ses membres. Cette semaine nous avons le plaisir de vous présenter… Laetitia De Gaulle.
Peux-tu stp te présenter ?
Je m’appelle Laetitia, (la joie en latin !).
J’ai 1000 vies, ou plus exactement 1 vie remplie de 1000 passions.
- Je suis mère de 3 garçons, qui font ma fierté et mon bonheur, ma tribu s’est agrandie au fil des années, et nous sommes maintenant 10 (mon mari, mes belles-filles, et mes petits enfants).
- Après une carrière de DRH dans l’industrie, j’ai créé mon entreprise de consulting il y a une quinzaine d’années, et accompagne celles-ci et leur management dans leurs transformations, leurs évolutions, leurs projets en Ressources Humaines. Je mets dans mes interventions toute ma conviction ; quoi qu’on fasse, quelles que soient les décisions, même douloureuses, on peut les mettre en œuvre avec humanité et respect des individus. C’est sans doute ce qui fait ma « griffe ».
- À l’âge de 40 ans, j’ai décidé, en parallèle de mon travail, d’assouvir ma passion pour l’art, et de faire l’école Boulle. Depuis, je ne me suis plus arrêtée de peindre, de créer et surtout de partager et faire partager cette joie de créer. C’est pour moi un vecteur formidable de rencontres, de partage, de transmission.
- Enfin, il y a 1 an, à coté de tout cela, parce que j’avais le besoin de donner un sens plus large à ce que j’avais vécu, envie d’être un peu utile, j’ai démarré un projet, « Nous les 4500 ». il a pour objectif de sensibiliser au besoin de comprendre les autres, de comprendre les différences et les accepter au sein de tous nos lieux de vie : entreprises, écoles, familles, communautés…. Je pars à la rencontre des femmes, d’hommes, 4500 en une année, pour leur poser une question unique : « Pour vous, c’est quoi être une femme ? ».
Pour comprendre que nos différences nous rassemblent, qu’il y a autant de façon d’être une femme qu’il y a de situations, cultures, même dans sa rue, faire se rencontrer les différentes façons d’être une femme et vivre libre, ensemble, écouter et comprendre permettent d’interroger, de partager, d’accepter nos différences et de s’en enrichir.
Peux-tu stp nous dire ce qui t’a donné envie de rejoindre le CGBB ?
J’ai découvert Alexandre, sa vie, sa démarche sur les réseaux sociaux, et lorsque je l’ai rencontré, j’ai voulu tenter l’expérience, dès les débuts. Ces aventures folles, les occasions de rencontrer des personnes partageant des valeurs communes, les initiatives qui vont dans ce sens me touchent et, même si la bienveillance est un mot « tarte à la crème », c’est, il faut bien le dire, au centre de ma façon d’être, autant que je le peux. (Rassurez-vous, parfois je suis très égoïste !)
Peux-tu stp nous parler d’une des dernières choses que tu as faites pour autrui ?
J’essaye, le plus possible d’être présente pour mon entourage, dans les situations où il est nécessaire d’avoir une vraie action. Une de mes amie vient de perdre son mari très brutalement, je pars auprès d’elle ce week end, l’aider à faire face à un environnement hostile, être là, pour elle, tout simplement, donner mon temps et mon amitié.
Si tu devais parler du CGBB avec l’un de tes proches, qu’en dirais-tu ?
Venez comme vous êtes, vous ne risquez que de découvrir de nouvelles personnes formidables, et si ce n’était qu’une seule, cela vaut le coup.
Qu’aimerais-tu que nos lecteurs retiennent de toi ?
Lorsqu’on me laisse à croire que je suis importante, que j’ai un pouvoir, je sais bien que c’est un pouvoir de pacotille. Que le seul pouvoir que j’ai, et qui est mon devoir, c’est celui d’être à la hauteur de ce que j’ai reçu, de le bonifier, d’en faire le socle de mes choix, et surtout de le transmettre à mes enfants pour qu’ils soient des êtres libres.
Un signe distinctif ?
Hyperactive !
