Chaque semaine, le CGBB met à l’honneur l’un de ses membres. Cette semaine nous avons le plaisir de vous présenter… Agathe Bozon
Peux-tu stp te présenter ?
Je suis une passionnée. De langue française, de grammaire, de lecture, de poésie haïku et de tout ce qui touche aux mots. J’adore me perdre dans les pages des dictionnaires, des encyclopédies et des manuels de grammaire, depuis toujours.
Après des études de droit, j’ai pris des chemins de traverse et ai fait de ma passion mon métier. Aujourd’hui, je suis rédactrice, relectrice-correctrice et formatrice en orthographe grammaire et techniques rédactionnelles. Ces trois activités sont complémentaires et se répondent. La rédaction satisfait mon goût pour la création, que je mets au service des entreprises. La relecture-correction, qui exige une très grande concentration, repose mon cerveau et le nourrit de la prose des autres. J’adore cet exercice qui consiste à traquer les erreurs grammaticales, orthographiques et typographiques. Ces deux activités sont très solitaires. Heureusement, l’enseignement et la formation me permettent de rencontrer des humains, ce qui est indispensable à mon équilibre, car je suis d’une nature très sociable.
Peux-tu stp nous dire ce qui t’a donné envie de rejoindre le CGBB ?
D’abord le nom. Bien et bienveillant sont deux mots qui résonnent en moi. Je trouve que nous n’avons jamais eu autant besoin d’être entourés de gens bien et bienveillants. J’ai voulu rejoindre le CGBB, dès sa création, mais le tourbillon de la vie a différé mon inscription. Puis un soir, j’ai pris le temps d’un afterwork du CGBB, dans un restaurant parisien. Ce fut un excellent moment et j’ai pu éprouver que le nom du CGBB n’était pas usurpé. L’ambiance était réellement bienveillante et tous les participants étaient accueillants, intéressants, agréables, gentils… des gens bien.
Peux-tu stp nous parler d’une des dernières choses que tu as faites pour autrui ?
Bien évidemment, je suis la plume bénévole de bien des gens autour de moi. Notamment de celles et ceux qui ne sont pas rodés à l’exercice de l’écriture et qui ont besoin d’argumenter ou se défendre face à l’administration ou certaines institutions. Je participe également régulièrement à des collectes alimentaires. La dernière en date fut pour Beyrouth.
Si tu devais parler du CGBB avec l’un de tes proches, qu’en dirais-tu ?
Le CGBB, c’est un cercle fermé très ouvert. Le CGBB c’est aussi des sourires et une énergie incroyable. Et ces sourires ne sont pas de façade, ils traduisent la joie que les gens ont à se retrouver pour partager un moment et se créer un bout d’histoire commune, fait de souvenirs et de complicité. Si je devais parler du CGBB, je parlerais évidemment d’Alexandre Favre, l’âme du CGBB au sourire légendaire.
Qu’aimerais-tu que nos lecteurs retiennent de toi ?
Ce qu’il y a à retenir me concernant ? Que je suis toujours de bonne humeur et prête à rire ; que je mets au service des entreprises ma plume pour expliquer leurs valeurs, leurs métiers, leurs ambitions et tout ce qui fait leur singularité. Que mon œil de lynx est un sniper anti-faute d’orthographe et que j’anime des ateliers de grammaire-orthographe aussi ludiques que bienveillants, où l’on rit beaucoup.
Un signe distinctif ?
Ma bonne humeur et ma joie de vivre. J’ai un moral à l’épreuve des balles et un enthousiasme inoxydable. Même la #Covid et les restrictions sanitaires n’ont pas eu raison de mon optimisme. Euh, cela dit, je suis impatiente que nous puissions retourner au restaurant, au théâtre, au cinéma…
En savoir davantage sur moi :
Mon site : www.agathe-redactrice.net – Ma chaîne Youtube : Le français c’est simple ! – Ma page Facebook : Le français c’est simple – Agathe Bozon
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