Chaque semaine, le CGBB met à l’honneur l’un de ses membres. Cette semaine nous avons le plaisir de vous présenter Pascale Cassereau.
Peux-tu stp te présenter ?
Je suis Pascale CASSEREAU, ingénieure et experte en marketing digital. Je suis également maman de 3 grandes filles et vis en Région Parisienne.
J’ai eu plusieurs vies, entre salariée et entrepreneure, et j’ai créé ma société actuelle iZaora il y a 2 ans dans le but d’accompagner les entrepreneur.e.s à mettre en place la stratégie digitale à leur image et à devenir autonome pour la transmission.
Mon leitmotiv est d’accompagner vraiment les entreprises à ne pas être freinées par la technique mais plutôt avoir une vue très concrète de leur stratégie digitale.
Cela passe par un audit initial, puis nous définissons comment vous pouvez acquérir cette « sacro-sainte » visibilité sur Internet. Cela passe également par les réseaux sociaux, les tunnels de vente avec plusieurs catégories qui ont toutes un objectif bien précis, le site internet avec évidemment toute la partie référencement permettant aux moteurs de recherche de vous trouver.
Nous nous chargeons de la définition du projet, de la mise en place aussi bien technique que sur la mise en valeur de l’entreprise avec une co-création de contenus, puis une phase de restitution sous forme presque de remise des clés pour reprendre les rênes de votre stratégie.
Rien n’est plus frustrant de voir des entreprises aujourd’hui pieds et poings liés à des prestataires car sinon, ils perdent tout.
Ma conception est que votre stratégie digitale vous appartient à 100%, et que vous ne dépendez aucunement d’un prestataire, aussi qualifié et compétent soit-il.
Cela passe par des formules de suivi sans durée d’engagement, de la pédagogie et transmission des éléments fondamentaux pour continuer à développer son business.
Peux-tu stp nous dire ce qui t’a donné envie de rejoindre le CGBB ?
J’ai eu envie de rejoindre le CGBB ne serait-ce que parce que l’intitulé même contient en condensé mes valeurs. Surtout et notamment le partage et la bienveillance.
Que ce soit sur le plan personnel et professionnel, ces 2 dimensions permettent vraiment de s’entraider, et de grandir ensemble. Cela donne un sens à notre mission, et, si je peux contribuer, c’est avec bonheur et enthousiasme.
De plus, le CGBB offre des opportunités incroyables de rencontres simples et conviviales, et également, grâce à l’invitation d’experts, des séances de réflexion sur la société, sur des évènements culturels qui sont uniques.
Peux-tu stp nous parler d’une des dernières choses que tu as faites pour autrui ?
La dernière chose que j’ai faite pour autrui est d’offrir à une personne qui ne s’y attendait pas un livre dans lequel j’ai écrit un chapitre avec une dédicace très personnalisée. Elle a été, je crois, très touchée de cette attention.
Je l’ai notamment remercié de m’avoir accompagnée dans un des moments délicats de ma vie, et donc finalement d’avoir contribué à l’écriture de ce chapitre.
Parfois, des choses même infimes font un plaisir immense à autrui sans même que nous en soyons conscients.
J’essaie à tout moment de rester positive, de faire des sourires même à des inconnus, de me rendre accessible car parfois, un simple sourire permet à l’autre de ressentir un apaisement profond.
Si tu devais parler du CGBB avec l’un de tes proches, qu’en dirais tu ?
Je lui dirais que c’est un des rares clubs où on te propose une multitude d’opportunités de rencontrer des gens avec des valeurs profondes de bienveillance, où personne ne te juge ou ne t’oblige à participer si tu ne le désires pas, où tu as ton libre arbitre.
Pour chaque évènement, ce sont des moments de partage, de plaisir simple, et de rencontres variées et enrichissantes.
Qu’est-ce qui te rend heureux dans la vie ?
C’est une excellente question à laquelle il est parfois très difficile de répondre.
Je vais néanmoins essayer, sachant que de nombreuses choses me rendent heureuses.
Sur le plan personnel :
- Jouer de la musique (violoncelle),
- Être avec mes filles,
- Faire du sport, notamment courir,
- Être entre amis,
- Ecouter des podcasts,
- Lire.
Sur le plan professionnel, c’est essentiellement voir la joie dans les yeux de mes clients lorsqu’enfin ils ont compris un point technique qui les a bloqués.
J’adore animer des sessions de coaching, des ateliers pratico-pratiques avec toutes les interactions avec les participants.
Et est-ce qu’il y a quelque chose qui t’énerve vraiment dans la vie ?
Oui, c’est la mauvaise foi et l’injustice.
La mauvaise foi, c’est se mentir à soi-même et surtout manquer de respect envers les autres. En même temps, si quelqu’un ne se respecte pas, comment pourrait-il respecter les autres.
L’injustice est une valeur forte dans ma vie. Dès que l’injustice apparaît, j’ai, depuis mon plus jeune âge, une réaction de rébellion et de colère.
J’ai appris au fil du temps à comprendre en quoi l’injustice rencontrée a une telle résonnance en moi pour provoquer ces sentiments si forts afin de toujours apprendre sur moi.
Qu’aimerais-tu que nos lecteurs retiennent de toi ?
Quelle question piège. Ce genre de question me fait peur car j’ai l’impression que ma réponse pourrait paraître très orgueilleuse de ma part.
Pour jouer le jeu, je dirais que j’aimerais que les lecteurs retiennent de moi ma générosité et ma grande empathie.
Mais également ma force, car trop souvent on a tendance à penser qu’une personne empathique ou trop gentille fait preuve de faiblesse.
Un signe distinctif ?
Je suis grande. Cela peut paraître idiot mais très longtemps je voulais ne pas prendre de place, mais, finalement, je prends de la place.
Longtemps cela m’a amené à ne pas trop savoir quoi faire de ce corps et maintenant j’assume enfin.
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